dimanche 29 août 2010

Christ you know it ain't easy

Hé oui, même Lui est sur Facebook.

Cliquez ici pour devenir son ami.

lundi 23 août 2010

You Shook Me All Night Long

Il y a des artistes, des chanteurs, des groupes qui nous font moins vibrer que d'autres. Qui ne nous accroche pas. On n'y peux rien, c'est comme ça.

Non, je ne vais pas donner de noms ici, juste au cas...On ne sait jamais, Marilyn Manson lit peut-être ce blog.

Bon OK...je vais en nommer un. Mais c'est tout. Vous me voyez venir, surtout à lire le titre de cette chronique.

J'ai appris à apprécier AC/DC sur le tard. J'aime ça. J'aime autant la période Bon Scott que l'époque Brian Johnson. C'est pas comme Genesis. J'aime le Genesis de Peter Gabriel. L'ère Phil Collins m'accroche moins, même si je trouve que Collins a une face sympathique.

Juste comme ça, Phil Collins était étudiant en arts dramatiques en 1964, et était figurant dans le film A Hard Day's Night des Beatles.

Vers la fin des années 70, je trippais encore sur le 'prog-rock', comme on appelle maintenant la musique progressive.

Hier, un peu nostagique, j'écoutais du Yes (sur vinyl) en faisant du ménage, assisté de ma Dyson DC23 (voir chronique du 20 mars)

J'en ai écouté deux ou trois d'affilé, quitte à changer le disque de côté aux 20 minutes.

La dernière chanson que j'ai écouté fut celle-ci:



Selon les standards actuels, le son et l'image sont à peine acceptable, mais je trouve que ça donne un cachet seventies, justement.

La chanson terminée, j'ai sauté dans mon auto. La radio était à CHOM, et c'est You Shook Me All Night Long qui jouait.

La démarcation avec ce que j'écoutais précédemment était tellement brutale que j'ai tout de suite compris pourquoi dans les années soixante-dix, je ne trippais sur les culottes courtes d'Angus Young.

dimanche 22 août 2010

Cellulaire

Mon prochain téléphone cellulaire sera mon premier téléphone cellulaire.

Ben oui toé chose, j'ai beau avoir un blog et des amis Facebook, mais je n'ai pas de cellulaire. Pas encore. Je suis encore au XXe siècle. Tellement que je viens d'écrire 20e en chiffres romain.

Ça veux dire que lorsque je ne suis pas à la maison ou au bureau, ça devient très difficile de me rejoindre. Quand je suis au cinéma, impossible de me déranger. J'ai même pas à penser à fermer mon cell ou le mettre en mode vibration.

Même chose lorsque je suis au resto. Pas d'appels, pas de textos. Rien vous dis-je.

Si je veux prendre des photos, je dois me servir d'un appareil qui ne fait que ça.

Jouer à des jeux? Euh...je dois bien avoir un vieux Monopoly sur une tablette. Pis un jeu d'échec. Ah pis j'oubliais le jeu de carte. Au fait, est-ce que quelqu'un sait à combien de jeux différents peut-on jouer avec un simple jeu de carte? Même pas besoin d'avoir un forfait!

Pour l'heure, ben j'ai une montre....Non, c'est vrai, j'en ai plus. J'ai toujours trouvé ça achalant.

Écouter de la musique avec un cell? Un lecteur MP3 fait l'affaire. Par contre, j'ai plus de 2000 vinyles que je devrais convertir en MP3 avant de pouvoir les écouter ailleurs qu'à la maison. J'ai calculé qu'en faisant un disque par jour, j'en ai pour plus de quatre ans.

Malgré tout, je vois le jour ou je n'aurai pas le choix, pour diverses raisons, d'avoir un cellulaire. J'ai même déjà commencé à regarder ça. J'ai retenu quelques modèles que je présente ici.

Lequel me suggérez-vous:



































jeudi 19 août 2010

Jumping the shark

On en apprend tous les jours. Aujourd'hui j'ai appris une expression d'un collègue de travail.

On parlait d'émissions de télé. Des Bougons, en fait. Comment cette émission a quitté les ondes après trois ans, alors qu'elle était l'une des télé-série les plus écoutée.

C'est à ce moment que mon ami a déclaré: 'So they didn't jump the shark'.

Devant mon incompréhension flagrante, il a fait mon éducation.

Ça remonte au temps de la série américaine Happy Days. Au fils des ans, cette émission gagnait en popularité.

C'est l'histoire d'une famille américaine de la classe moyenne dans les années 50, à laquelle on a ajouté un locataire, Fonzie, un motard tombeur (et non un motard qui tombe) qui d'un seul claquement de doigt attire toutes les filles à ses pieds.

C'était super rétro, on jouait à fond la carte de la nostagie, et c'était assez sympa. J'aimais bien la musique.

L'émission dura onze ans, mais au fil des ans, plusieurs comédiens quittèrent la série, et à la fin, nous étions loin de la prémisse originale, ainsi que des cotes d'écoutes des beaux jours. (Beaux Jours = Happy Days...wow quel lien)

On peut dire que le déclin de la série s'est amorcé lors d'un épisode de la cinquième saison.

On fait sortir la famille Cunningham et Fonzie de leur Wisconsin pour leur faire faire un voyage à Hollywood. C'est là que Fonzie sautera en ski nautique par dessus une fosse aux requins. Souvenez-vous de la popularité du film Jaws au milieu des années 70.

N'étant plus capable de créer de nouvelles aventures à partir du cadre familier de la série, ou peut-être sous la pression du réseau d'obtenir de meilleures cotes d'écoutes, ou les deux, les auteurs eurent recours à l'exagération, et l'émission devint de moins en moins authentique, crédible, donc moins regardée.

D'ou l'expression, qui désigne le moment ou une série est à son meilleur, et ne peut que décliner par la suite.

Il existe maintenant plusieurs sites ou les gens sont invitée à se prononcer sur le moment ou leur série préférée 'saute le requin'. Ça signifie alors que la série est sur le déclin, selon eux.

Voici la scène du saut par dessus le requin. Jugez par vous-même:


Thanks Steven

mercredi 18 août 2010

Johnny B. Goode

Chuck Berry, Julian Lennon et Keith Richards qui chantent Johnny B. Goode en 1986.
Le père, le fils et saint-esprit du rock and roll:

mardi 17 août 2010

Chronique d'une semaine occupée

Encore une semaine sans bloguer! Le nom de ce blog est de plus en plus vrai: Une fois!

Non mais, quelle semaine de roller-coaster émotif que fut la semaine dernière.

Mardi:
Retrouvailles avec un camarade de classe. On ne s’était pas vu depuis 34 ans. On s’est retrouvé grâce à Facebook.

Donc une soirée à se rappeler des souvenirs, à se mettre à jour, à se trouver des points communs. Lui est très manuel, moi pas. Lui demeure à la campagne, je suis plus urbain.

Alors, qu'avons nous en commun, après tout ce temps? Pour commencer, nous aimons rire. Mon chum possède un sens de l’humour décapant. C’est probablement pour ça que étions amis au secondaire. Nous nous assoyions dans la dernière rangée en classe, basculant nos chaises sur deux pattes en s’accotant le dos au mur, au grand dam de notre prof de français, matière que nous maîtrisions assez bien à l’époque.

Et là nous échangions des blagues. Nous nous faisions des histoires, des synopsis, des trucs drôles. C’était invariablement nos profs qui étaient les victimes de nos histoires débridées. Surtout notre prof de chimie.

On a aussi parlé de paternité. Avec la plupart de mes amis qui ont des enfants, je parle beaucoup de famille. J’ai l’impression que ce n’était pas comme ça dans le temps de mon père. C’est un plaisir qui devait être réservé aux mères. Certains de mes amis sont toujours avec la mère des enfants, d’autres ont la garde partagée. Parfois ils sont à nouveau célibataires, ou ils se sont reconstitués une famille élargie.

Tellement de dynamiques différentes. Peut-être pour ça que c’est intéressant d’échanger. On ne vit pas tout à fait la même chose.

Nous avons très peu parlé de sport, de char et de femmes. J’vous le dis.

Un des moments fort de la soirée fut lorsque mon copain me mentionna que le prof le plus cool qu’il se souvienne d’avoir eu était Elio Mywinch (nom fictif, vous l’aurez deviné). C’est que Elio Mywinch c’est le nom du père d’un ami. Ami que je n’ai pas vu en 20 ans, mais que j’ai retrouvé sur Facebook, il y a moins d’un mois. Après vérification avec le fils d’Elio, c’était bien son père. Je ne savais même pas que son père avait été prof.

C’est dans ce temps-là qu’on se dit que le monde est petit.

Somme toute, une agréable soirée de retrouvailles avec un ancien/nouvel ami qui avait fait une heure de route pour notre rendez-vous. La prochaine fois, on va souper dans son boutte.


Jeudi:
En soirée, j’étais au Centre Bell, au show de Paul McCartney. Ce fut vraiment une soirée magique.

En 1989, lors de son dernier passage à Montréal, je n’avais pas réussit à avoir de billets. Le soir du show, j’arpentais le trottoir devant le Forum, avec $300 en poche espérant acheter une paire de billets. J’avais dit à ma blonde de venir me rejoindre. Elle était enceinte de quatre mois. Les scalpers demandaient $300 du billet. Aller voir ce show sans ma blonde était impensable.

J’ai gardé mon $300, ma blonde et moi sommes allés au resto puis au cinéma, pendant que Paul, qui n’était pas encore Sir, était sur scène avec Linda de l’autre côté de la rue. Avec le recul, c’est ce soir là que j’ai eu la certitude que j’étais prêt à avoir des enfants. Ça me faisait quelque chose de manquer le show, ne sachant quand j’aurais la chance de revoir l’ex-Beatle, mais j'ai réalisé ce soir-là qu’il y avait désormais des choses plus importantes dans ma vie.

Jeudi dernier, 21 ans plus tard, quelques minutes avant le début du spectacle, alors que nous étions tout les trois assis, j’ai dit à ma blonde (la même qu’il y a 21 ans) et à ma fille (qui aurait été au show de 1989 sans avoir à payer de billet) : ‘Voici le show que nous attendons depuis 21 ans’.

C’était vrai en parti. Celle de voir le show ensemble. En 2008, avec mon fils, j’étais sur les Plaines D’Abraham, à moins de 200 pieds de la scène. L’an dernier, ma fille s’était tapée 28 heures d’autobus en une fin de semaine afin de voir McCartney à Halifax. Elle était dans les premières rangées.

Ma blonde était donc la seule à ne pas avoir vue Paul ‘live’. Mon fils ne voulait pas venir, jugeant qu’avoir vu un ex-Beatle une fois dans sa vie, c’était suffisant. Pourtant, il aime bien les chansons des Fab Four.

Nous avons bien faillit ne pas avoir de billets pour le spectacle de jeudi. Je vous parlerai un jour de mon chum Sym, et comment le destin fit qu’il se retrouve avec trois billets de trop.

Un show de trois heures. Quelle générosité! Vous savez quoi? Vers le milieu du spectacle, j'aurais aimé avoir une télécommande et faire PAUSE, et revenir pour la suite le lendemain. Mais Paul était une vraie machine! Un juke-box humain.

De tout le spectacle, je ne l'ai pas vu prendre une gorgée d'eau. Pas un verre ou une bouteille en vue. Me semble qu'après avoir chanté Helter Skelter, il l'aurait bien mérité. Même pas.

En 2008, j'avais décris mon expérience sur les Plaines d'Abraham de cette façon: Ne pas déjà être fan de McCartney, je le serais devenu ce soir là. C'est aussi vrai aujourd'hui.

Donc jeudi, après trois heures de voyage dans l’univers de Paul, nous sortons du Centre Bell, encore sur un nuage, chantant des chansons que nous venons d’entendre. Ma fille, elle, s’est arrangée avec une amie, et les deux partent sur le champ pour Boston, pour être de retour 40 heures plus tard.

Donc, alors que nous remontons la rue De La Montagne, elle spot l’auto de son amie dans la rue, part en courant, et nous fait un bye-bye de la main. ‘À samedi’, nous lance-t-elle. La Mazda de la copine s’engouffre ensuite dans la circulation.

La nostalgie des tounes de Paul fait place à la réalité qui nous rattrape. Notre fille est présentement à l’âge ou tout est possible.

Pour elle, c'est possible de ne pas à avoir à choisir entre deux choses. Elle peut les faire toutes, et c’est très bien ainsi . Elle aura bien assez vite à faire des choix, comme celui d’aller voir un show seule ou passer la soirée avec un être cher. À ce moment, je sais qu’elle saura quoi faire, et que cette décision la fera grandir à son tour.


Samedi:
Journée de boys. En fait, c'est comme si j'avais monté un band de toutes pièces, avec des amis à moi, mais qui eux ne se connaissaient pas. Le résultat a été surprenant. C'était assez difficile de faire des interprétations, puisqu'il nous manquait un chanteur. Par contre, Denis, tout en étant au drum, nous a livré une version punchée de Roadhouse Blues. Nous avons fait quelques tentatives de chansons des Beatles, mais c'était loin de sonner comme jeudi soir au Centre Bell.

Là ou c'était vraiment intéressant, c'était les jams instrumentaux. Avec Marc à la guitare et JP au clavier, c'était génial. Je m'en tenais surtout à la rythmique. Jean-Seb, qui s'est joint à nous plus tard, a eu l'air d'apprécier son expérience.

Ça se passait au chalet de mon ami, sur le bord d'un lac. Nous étions sur la véranda. Par moment, des pédalos se pointaient devant le chalet, faisaient du surplace pendant plusieurs minutes, avant de repartir. Cool...nous avions un public.

Les gars ont aimés l'expérience, et on refera sûrement ça de nouveau.

It's only rock and roll but I like it...

samedi 7 août 2010

Il est arrivé !!!

Quand j'étais jeune, il y avait un moment particulièrement magique dans l'année. C'était lorsqu'on recevait les catalogues de Noël Eaton et Simpsons-Sears.

C'était signe qu'on pouvait commencer à rêver à nos cadeaux de Noël. Au bout de quelques jours, nous connaissions par coeur le contenu de la section des jeux et jouets, mais on continuait quand même à feuilleter quotidiennement jusqu'au 25 décembre.






Les temps ont changés. Eaton n'existe plus. Simpsons et Sears se sont dissociés, et il ne reste que Sears, qui par contre offre encore la possibilité de magasiner par catalogue. Nos enfants ne connaîtront jamais cette frénésie, lorsqu'à l'automne, le postier déposait dans notre boite aux lettres ces livres magiques. Bah, ils ont internet, et faut avouer que c'est quand même plus écologique. Et d'ailleurs, ils nous plaignent d'avoir grandit sans ordinateurs et téléphones cellulaire. Mais comment diable avons-nous fait ???

Maintenant, au XXIe siècle, à chaque mois d'août, j'éprouve un feeling qui se rapproche beaucoup de ce petit bonheur de mon enfance. C'est lorsque les magazines de pools de hockey se retrouvent sur les tablettes. Un peu comme trouver le catalogue Eaton dans la boîte à malle.

Aujourd'hui, à l'épicerie, il était là. Enfin. Finalement. Le premier d'une série de trois ou quatre. Ben oui, parce qu'il y en a plusieurs éditions. En tant que champion en titre de mes deux pools la saison dernière, la pression est forte. La concurrence féroce.

Comme certains de mes amis poolers, je passerai donc les prochaines semaines à étudier cette Bible, ce Coran, cette Torah, cette Śruti, ce Tipitaka.(Et à être politically correct)

Et ultimement, ce sera le jour J...ou le jour P, pour pool. C'est le jour où les poolers se réunissent. Ce jour-là, nous jouons aux directeurs-gérants, et chacun essaie de se bâtir la meilleure équipe. Une réunion qui dure 4 à 5 heures.

J'en reparlerai d'ici octobre. Pour le moment, je vais aller voir ce que le 'good book' dit sur les recrues.

lundi 2 août 2010

Heille le blogueur !!! Tu blog pu?

Ça fait quelques semaines que je me fait dire ça.

D'abord par mes centaines de lecteurs. Que dis-je, mes dizaines de lecteurs...OK d'abord, ma dizaine de lecteurs. Mais je ne descend pas plus bas. Je sais que vous êtes au moins dix à connaitre l'existence de ce blog.

De là à savoir si vous êtes tous de fidèles lecteurs...C'est vrai qu'en n'écrivant qu'un article aux deux semaines, vous perdez l'habitude. Mea culpa...

Je disais donc que certains d'entre vous m'avez fait ce commentaire. Moi aussi je me le suis dit. Mais pas assez, faut croire.

C'est pas l'inspiration qui manque. J'ai même déjà plusieurs chroniques de sauvegarder en brouillon. Certaines sont prévues pour des dates fixes. Genre celle de Noel. Pour d'autres, je n'ai vraiment pas d'excuses. C'est même pas parce que j'étais en vacances, parce que les miennes ne sont pas avant la mi-septembre. Donc je vous le dit tout de suite qu'il n'y aura pas de blog durant cette période. À moins de convaincre ma blonde d'amener un lap-top en voyage.

Donc, si je n'ai pas blogué, c'est par paresse. Par procrastination. Aussi parce qu'en juillet, j'ai préféré voir des amis. La semaine, la fin de semaine, peu importe... Pis il y a autant de rencontres prévues en août.

Maintenant que les enfants sont grands (lire presque jamais à la maison), je ne sais pas si c'est parce que nous sommes plus disponible, ou c'est parce qu'on cherche à combler le vide, mais nous invitons plus souvent des amis qu'autrefois. On accepte aussi les invitations, bien sûr.

Ce qui est magique dans tout ça, c'est d'avoir gardé contact avec pleins de gens, malgré le temps qui passe. Des gens qui me sont chers, des gens qui m'ont touchés directement à l'âme à un certain moment.

Encore plus extraordinaire, c'est d'avoir retrouvé des amis grâce aux réseaux sociaux (lire Facebook). Et en retrouvant une personne sur Facebook¸ qui est restée en contact avec d'autres amis qui ne sont pas Facebook, nous avons réussis de belles retrouvailles.

Il suffisait de retrouver une seule personne. Comme quoi parfois la vraie vie est un peu comme Facebook.

Il y a aussi une personne qui m'a retrouvée, toujours sur Facebook. Une histoire ancienne qui n'avais jamais été réglée. Pas une histoire d'argent. Pas une histoire de coeur. Rassurez-vous, rien de louche ou de croche non plus. C'est à la fois simple et compliqué. Par respect pour cette personne, je ne vais pas décrire la situation.

C'est incroyable comme je me sens bien d'avoir mis cette histoire derrière moi. Cette personne aussi, j'en suis sûr.

Il y a aussi un ancien camarade de classe que j'ai retrouvé sur FB. 35 plus tard. On s'organise des retrouvailles bientôt.

Il y en a d'autres dans ma ville natale, que j'aimerais bien revoir. (les gens, pas juste la ville)

Il y a aussi une personne avec qui j'ai encore des trucs à jaser...Ça viendra, s'agit que je trouve les mots justes.

Toutes ces personnes formidables avec qui j'ai renoué et les amis extraordinaires que je n'ai jamais perdu de vue, j'aimerais pouvoir les regrouper pour une photo, comme sur la pochette de Sgt Pepper's des Beatles. Au montage, je mettrais aussi les photos de ceux qui me sont cher, mais qui ne sont plus ici. Je pourrais essayer, je dis bien essayer d'avoir Paul McCartney lui-même sur la photo. Après tout, lui et moi avons passé une soirée ensemble sur les Plaines d'Abraham il y a deux ans.

Tiens, puisqu'on parle de Sir Paul, je vous dédie, à vous tous, In my life.
Ça commence comme ça:

There are place I remember
All my life, though some have changed
Some forever not for better
Some have gone and some remain

All these places had their moments
With lovers and friends
I still can recall
Some are dead and some are living
In my life I've loved them all