jeudi 28 avril 2011

C'est fini...

La saison du Canadien est terminée...

Je disais à une amie qu'au lendemain de l'élimination du Tricolore, à chaque année, c'est comme une peine d'amour. Ça fait toujours un peu mal. Certaines années plus que d'autres. Je ne m'y habitue jamais vraiment.

Surtout que ce matin, il pleuvait en plus!!! Non mais quand ça va mal !!!

C'est un peu comme une belle fille qui déménage dans le quartier en septembre, pis qui commence à me cruser. En octobre, je suis déjà en amour avec.

Pis tôt ou tard, elle vient habiter avec moi...On passe de belles soirées ensemble. Surtout le samedi soir. Ça c'est sacré. On préfère rester avec elle que de sortir avec les amis.

Vers le match des étoiles, elle fait déjà un premier bilan. Elle veut savoir ou la relation s'en va.

Parfois pour nous faire plaisir, elle va vouloir changer son image. Au lieu d'une nouvelle coiffure, ça va se faire par un échange. Un gros marqueur en retour de considérations futures.

Considérations futures, c'est un peu un chèque en blanc...comme quand elle nous demande de dire oui à une question qu'elle n'a pas encore posée.

Il y a bien sûr des hauts et des bas. Heureusement qu'il y a de la communication dans le couple. Ça se fait par lignes ouvertes interposées. Salut mon Ron, c'est toi le médiateur par excellence.

Vers la fin mars, début avril, c'est toujours une période critique. Ça passe ou ça casse. On va faire les séries ou non.

Lorsqu'on réussit à franchir cette étape...On se met à rêver...Qui sait, ça pourrait même finir par un mariage. Parmi les cadeaux de noces, un gigantesque saladier argenté...

On vit le bonheur parfait et total. Puis un bon soir, à 5:43 de la prolongation, sans aucun avertissement, elle nous annonce que c'est fini. PAF! Le coup au coeur.
- Ben non voyons, tu me niaise? C'est pas vrai?
- Ah non? Check ben la reprise mon grand! It's over. Fini. Je voulais partir avant, mais je suis resté jusqu'au 7e match...Mais là ça donne pu rien...Bye!

Même pas de bisous d'adieu...juste une poignée de main au centre de la patinoire.

On va se coucher, mais on ne fait que penser à elle. Le lendemain, la télé, la radio, les journaux, internet nous rappelle tous qu'elle n'est plus là.

On se fait tranquillement à l'idée. On se dit que c'est mieux de même. Après un certain temps on commence à regarder ailleurs. On a besoin d'un rebound. D'une blonde, c.a.d. d'une équipe de transition. Les Canucks cette année. Pourquoi pas?

Mais ce n'est pas tout à fait pareil avec la nouvelle équipe. On fait un bout avec, mais on ne manque pas une sortie avec les amis pour elle.

Puis, après la saison, on se surprend à prendre des nouvelles de notre ancienne flamme. On veux pas se l'avouer...

Lors du repêchage en juin, c'est un peu comme un crusing bar. On regarde trente belles filles. Notre ex est du nombre.

Ensuite, le 1er juillet, la signature des agents libres...Tiens tiens...Ça nous intéresse de savoir si elle va faire un move.

On passe quand même un bel été. On l'oublie...presque.

Puis, arrive septembre...elle revient dans le boutte et recommence à nous faire de l'oeil. On sait qu'on va succomber.

...Et c'est repartit pour une autre saison forte en émotions.

lundi 11 avril 2011

Paul Cole

Qui est Paul Cole?

Je viens tout juste de l'apprendre. Son visage a été vu par des millions de gens, car on peut le voir sur une des plus célèbre photo du XXe siècle. Par contre son nom ne dit rien à personne.

Levez la main ceux qui connaissent la réponse.

Personne?

Un indice? LMW28IF (C'est un indice pour initiés seulement...mais quel indice tout de même)

Toujours rien? OK d'abord, la réponse est ici.

Merci à Manon, une amie Facebook qui partage la même passion que moi.